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juin 2022

De nombreux pays ont pris des mesures pour limiter ou interdire l'exportation de biens pour contenir la hausse des prix à l'intérieur de leurs frontières.

mai 2022

Selon les derniers chiffres de l’ONU, 276 millions de personnes dans le monde sont confrontées à une insécurité alimentaire grave. Un chiffre qui a doublé en seulement deux ans, soit depuis le début de la pandémie de Covid-19. Mais, aujourd’hui, avec l’impact du conflit en Ukraine, il est très probable que l’insécurité alimentaire grave touche un nombre encore plus important de personnes.
L'Inde a annoncé samedi interdire les exportations de blé face à la baisse de sa production, due notamment à des vagues extrêmes de chaleur, une décision qui va "aggraver la crise" d'approvisionnement en céréales avec la guerre en Ukraine, s'alarme le G7.
Alors que la pandémie de Covid-19 a perturbé pendant des mois les chaînes d'approvisionnement, viennent s’ajouter le dérèglement climatique et la guerre en Ukraine. Moutarde, câbles électriques, bouteilles en verre… plusieurs secteurs de notre économie sont impactés. Les prix flambent et les craintes de pénurie se renforcent, révélant un peu plus les failles d’un modèle à bout de souffle.

avril 2022

La Russie et le Donbass détiennent d’importantes réserves de nickel, de cobalt et de lithium nécessaires aux véhicules électriques, aux éoliennes et aux panneaux solaires. Des experts craignent que la guerre ne réduise leur disponibilité, au détriment de l’Europe, où la demande continue à grossir.
Difficiles à produire, les automobiles neuves ont vu leurs ventes plonger dans l'Union européenne en mars, victimes des pénuries de semi-conducteurs et de la guerre en Ukraine, a indiqué mercredi l'Association européenne des constructeurs (ACEA).
La France se prépare si le gaz russe venait à manquer l'hiver prochain: un décret publié vendredi organise la manière dont des coupures ciblées pourraient être mises en oeuvre chez de gros consommateurs, tandis que le remplissage des stockages a déjà commencé. Ce décret, qui était attendu, encadre un possible "délestage", c'est-à-dire une interruption ou une réduction de l'approvisionnement pour certains clients industriels ou tertiaires (centres commerciaux, salles de concert, stades...).
Près de 2500 entreprises belges ont été sondées sur l’impact de la guerre en Ukraine. L’enquête menée par la BNB et la FEB montre une forte hausse du coût inputs (en particulier l’énergie). Baisse de la production également en vue sur fond de nouveaux problèmes dans les chaînes d’approvisionnement.
Les législateurs de l’Union européenne, tous partis confondus, ont demandé à la Commission européenne de cesser de promouvoir la consommation de viande alors que la guerre en Ukraine a des répercussions sur l’approvisionnement alimentaire mondial et entraîne des pénuries de nourriture pour animaux dans l’UE.

mars 2022

Plusieurs dizaines de fédérations actives de près ou de loin dans l'industrie agro-alimentaire ont pris part ce mardi matin à une première réunion de la taskforce "Ukraine" au SPF Economie à Bruxelles. La guerre en Ukraine entraîne une forte hausse du prix de certaines matières premières, outre l'inflation des prix de l'énergie. "On ne parle pas de pénurie aujourd'hui, mais la taskforce a pour but d'anticiper les conséquences à venir du conflit"
Le Canada, quatrième producteur mondial de pétrole, a annoncé jeudi une augmentation d'environ 5% de ses exportations de pétrole pour répondre "aux demandes d'aide" de ses "alliés, aux prises avec des pénuries" en raison du conflit en Ukraine.
Plus de 450 scientifiques publient ce lundi un appel à changer notre système alimentaire mondial plutôt que de s’enfermer dans le productivisme pour répondre aux pénuries qui se dessinent à cause de la guerre en Ukraine.
Une panne généralisée du réseau électrique survenue en début de semaine a plongé le Nigeria dans le noir et les habitants, eux, peinent à alimenter les générateurs privés. Avec la guerre en Ukraine, le prix du baril a explosé provoquant des pénuries d'essence qui paralysent l'économie du pays.
Alors que les combats se poursuivent en Ukraine, trois semaines après le début de l'invasion russe, de nombreux pays qui dépendent du blé ukrainien craignent de ne bientôt plus pouvoir manger à leur faim. Parmi les premières populations concernées, celles du pourtour méditerranéen. Décryptage.
Farine de maïs, riz, sucre, huile, tomates, bière... tout augmente. Les ménages congolais, dont les trois quarts vivent sous le seuil de pauvreté, s'inquiètent des conséquences économiques de la guerre menée par la Russie en Ukraine.
La guerre perturbe fortement le commerce de céréales, dont l'Ukraine et la Russie sont les premiers fournisseurs européens.
Les autorités et les détaillants du Kazakhstan s'inquiètent d'une ruée sur les achats de denrées alimentaires et d'une hausse des prix en raison des restrictions décidées par la Russie sur ses exportations de céréales pour limiter les effets des sanctions décrétées à son encontre. Les cinq pays d'Asie centrale, très dépendants des importations de Russie, ont déjà vu leurs monnaies s'effondrer dans la foulée du rouble, affecté par les sanctions occidentales infligées contre Moscou après l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Face aux répercussions de la guerre russo-ukrainienne sur l'économie mondiale, les cours du pétrole continuent de flamber, tout comme le prix de l'or qui dépassait les 2 000 dollars l'once.
Tchernobyl, puis Zaporijjia. La Russie a pris possession de ces centrales ukrainiennes. Face aux futures pénuries, l’énergie atomique, très vulnérable en cas de conflit, n’est pas la solution pour la France, selon Stéphane Lhomme, directeur de l’Observatoire du nucléaire.
A quand la fin des pénuries de puces pour les produits high-tech ? Au salon du mobile de Barcelone, fabricants et spécialistes appellent à la patience, alors que la guerre en Ukraine fait craindre de nouvelles perturbations dans un marché sous tension.

février 2022

Plusieurs importateurs ont interrompu leurs achats de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie. Cette décision fait suite à l'incertitude des acheteurs face à la vague de sanctions infligées à la Russie par plusieurs pays occidentaux. La réticence des importateurs alimente les inquiétudes concernant les pénuries d'énergie et la hausse des prix.
Il y a eu un coup de chaud, jeudi après le début de l’attaque russe. Mais la guerre a eu un effet limité sur les marchés. Les variations quotidiennes sont surtout dues à de la spéculation. Nous sommes confrontés, cependant, à une montée des prix de l’énergie généralisée qui est surtout due, en résumé, à la diminution des ressources disponibles et à l’augmentation de la demande. Il était attendu, par exemple, que le pétrole passe la barre des cent dollars par baril durant l’été car les producteurs sont incapables d’en extraire assez. L’invasion n’a fait qu’accélérer ce processus.